Influencé par une prestation du groupe The Droogies, lors du Festival de la Gibelotte de 2007, Jean Doyon reprend goût à la musique de « cover » et décide de reformer GOLIATH, si cela était possible.  Il se met donc à la recherche de musiciens.

Deux ans avant, en 2005, son neveu, le claviériste Antoine Laporte lui redonne le goût de la scène alors que ce dernier l'invite à prendre part avec lui à un gala de fin d'année pour une école de musique.  Ensemble, ils ont interprété Clocks de Coldplay.

Le batteur Daniel Pelletier n'a même pas attendu la fin de l'exposé de DOYON au téléphone, qu'il avait déjà accepté de reprendre son poste à la batterie.  Puis, ce fut au tour du bassiste Stéphane Farley d'acquiescer à la demande du chanteur.  Après avoir fait quelques pratiques avec un 2e guitariste, c'est finalement Antoine qui vint compléter la 2e version de Goliath, mais avec un claviériste.

Au début de 2010, le bassiste Stéphane Farley est remplacé par un jeune bassiste de 19 ans du nom de Nicolas Cournoyer.  Finalement, à la fin de l'été 2010, Antoine quitte la formation pour poursuivre ses études en musique.  Ce qui mettra fin aux activités du groupe GOLIATH, mais qui fera place au groupe ARSENAL.
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NOTES

- À notre premier spectacle de retour au Ptit Bar de Saint-David, notre "soundman" pour ce soir-là, Sylvain Dumas, nous demanda « Où sont les lumières ? »  Oupss, nous les avions avons oublier.  Donc aucun light show.  Finalement, ce fut une petite lumière 40W au dessus de la batterie qui nous a servi "d'effet de lumière".  Ce fut la blague de la soirée.

- En toute dernière minute, Goliath est demandé pour une soirée à l'ouverture du nouveau resto-bar chez Sandra à St-Aimé de Massueville.  La réputation de Goliath de « jouer fort ! », fut confirmé une fois de plus avec la venue des Policiers qui nous ont demandé de baisser le volume un peu.  La danse était à l'honneur ce soir-là, les gens étaient prêts pour le party, et on a dû terminer très tard, impossible de quitter la scène, les gens en redemandaient. Inutile de mentionner que la chaleur était au rendez-vous ce soir-là.